STATISTIQUES 2015
STATISTIQUES 2016 (au 04/01/2016)
C’est chouette Windows 10, c’est vrai. De Cortana qui fait des blagues au menu Démarrer (de retour maintenant que tout un chacun a appris à faire sans) en passant par le centre de notifications ou les bureaux virtuels, le nouveau système signé Microsoft vend du rêve. Et ça marche, vraiment.
Seulement, en y regardant de plus près, il y a quand même des surprises ; ou plutôt des non-surprises. Comment un système si moderne peut-il encore n’offrir qu’un Lecteur Windows Media comme lecteur multimédia, qu’un Paint comme éditeur graphique ou encore une connexion bureau à distance si peu performante ?
Partant de ce constat, nous avons décidé d’effectuer une sélection de logiciels alternatifs aux basics dont Windows 10 a hérité de ses « ancêtres ». De quoi améliorer votre expérience au sein d’un système réellement moderne mais qui aurait mérité, peut-être, de voir ses outils affûtés.
Vidéo, audio, images, le Lecteur Windows Media est sensé tout faire même si, concrètement, c’est pour la musique qu’il s’en sort le moins mal. On aurait pu espérer que le nouveau système de Microsoft vienne avec le remplaçant de ce lecteur multimédia qui a fait son temps mais, malheureusement, l’éditeur a fait l’impasse.
Soit. Puisque cela fait déjà bien longtemps qu’on doit faire face au désespoir généré par le Windows Media Player version 12 (qui date quand même de 2013 !), le remède reste le même : l’excellent VLC. Simple pour les noob mais offrant moult possibilités pour les experts, efficace, libre et gratuit, le logiciel cartonne et ce n’est pas pour rien. Enfin, pour ceux qui le souhaiteraient, VLC est également dispo sous forme d’app Windows.
Sérieusement, l’interface du tout en rondeur du Lecteur Windows Media en jette au sein d’un système en flat design non ?
Autre composant ancestral de Windows, Paint a-t-il encore vraiment sa place sur ce système ? Ni doué pour le dessin, ni pour l’édition photo, celui-ci se voit relégué au rang de jeu pour enfant ou de convertisseur de format d’images (puisque ça, il le fait bien).
À ses côtés, Paint.NET a l’allure d’un outil professionnel et, bien que cette qualification ne lui sied guère, il fait bien plus que Paint et bien mieux. Si sa spécialité n’est pas la création (pas de vectoriel ou de brosse dédiée à la peinture), ce logiciel est en revanche doué pour la retouche. Doté d’outils précis, Paint.NET fait bien plus que dépanner ; il gère les calques, les modes de fusion, propose nombre d’effets, un historique des modifications, etc. Bref, un autre incontournable gratuit à essayer sans hésiter.
Continuons dans le domaine de l’image et de la photo avec la visionneuse Windows. Apparue avec Windows Vista, celle-ci n’est pas dénuée d’intérêt ; elle a au moins le mérite de permettre la visualisation de pas mal de formats d’image puis de les imprimer… ou de les ouvrir dans un autre logiciel. Ce que ne fait pas la visionneuse, l’app universelle Photos le fait, c’est vrai, mais avouons que la gestion des collections avec celle-ci est un calvaire.
Nous avons donc décidé de couper la poire en deux avec XnView MP. L’outil est étonnant de sa simplicité, et offre de nombreuses fonctionnalités dont l’accès et la manipulation sont à portée de tout un chacun. Léger et personnalisable, XnView MP est un MUST. Il est entendu que d’autres logiciels pourraient être cités ici : RawTherapee pour les passionnés ou Picasa pour les partageurs. Mais si vous souhaitez un logiciel qui va à l’essentiel, XnView MP est fait pour vous.
À dire vrai, l’outil de capture d’écran de Windows n’est pas si mauvais. Celui-ci s’est même vu « amélioré » pour Windows 10 avec l’ajout d’un retardateur de capture malheureusement réglable uniquement de 1 à 5 secondes par palier d’une seconde (aucun intérêt donc). Son seul intérêt versusPrtScr est de pouvoir capturer une fenêtre, un manque indéniable pour le petit logiciel gratuit.
À côté de cela, ce dernier est tellement pratique ; appelé par un simple « Impr.écr » (ou PrtScr), il offre la possibilité de capturer tout l’écran, des formes libres ou des rectangles, avec ou sans retardateur (de 5 ou 30 s) et ensuite, en un clic, d’enregistrer (« sous », sur le bureau ou dans le presse papier), éditer, partager, ou imprimer. Une fois essayé, vous ne pourrez plus vous passer de PrtScr.
Un peu plus touchy car bien moins utilisé du « grand public », le Bloc-Notes est l’intemporel outil de base qui dépanne ; parfois pour noter un numéro de téléphone en toute hâte, parfois quelques adresses IP, parfois pour taper 2 ou 3 lignes de code.
Si vous avez besoin de plus, le passage à Notepad++ vous sera salutaire : gestion des onglets, d’un grand nombre de langages de scripting ou de programmation, autocomplétion, coloration syntaxique, recherche et remplacements complexe. La liste est longue, le logiciel est top, pas besoin d’hésiter.
Des griefs contre Windows Defender ? Aucun, il s’agit d’un très bon logiciel de sécurité de base, peu configurable soit, mais suffisant pour qui ne prendrait pas de risques, ou pas trop.
Simplement, force est de constater qu’Avast! Antivirus Gratuit 2015 est devenu le mètre étalon des logiciels de sécurité gratuit ; il faut dire que l’éditeur a mis le paquet dans cette version 2015. Le logiciel s’est en effet hissé au niveau de certaines suites payantes (la pub en plus). Côté sécurité : protection en temps réel antivirus, antirootkit et antispyware, Cloud et analyse du réseau domestique. Côté utilitaires : outil de détection de mise à jour, nettoyage et protection du navigateur, désencombrement du navigateur, disque de secours, prise en main à distance, etc. Notons enfin une fonction SmartScan d’analyse tout-en-un, pratique pour les utilisateurs les moins avertis.
Sous Windows, décompresser du .ZIP c’est facile ; pour le RAR, qui est au passage le format le plus utilisé sur net, ou le .7Z… ça se complique. Et ne parlons même pas de compression ; .ZIP only.
Oui, il est nécessaire, indispensable même, d’avoir un autre logiciel d’archivage sur son ordinateur que celui proposé par Windows. Et bien que WinRAR soit toujours le plus téléchargé, si ça n’est déjà fait, c’est le libre et gratuit 7-Zip qu’il faut adopter. Nous vous invitons d’ailleurs à consulter notre article à propos de 7-zip pour vous en convaincre.
Que dire du Bureau à distance de Windows ? Ce système est fiable, relativement sécurisé et propose les quelques options nécessaires à une connexion en bonne et due forme. Ah, oui, j’oubliais, si vous n’êtes pas fibré, c’est un calvaire.
Et c’est là le principal intérêt d’AnyDesk ; facile à installer et à connecter, il est surtout bien plus fluide qu’aucun autre système de connexion à distance. Bien entendu vous pourrez recevoir le son, synchroniser le presse-papier, effectuer des captures d’écran, etc. ; rien ne manque. À installer d’urgence.
Certes, il ne s’agit pas d’un composant daté puisqu’il vient d’arriver avec Windows 10, mais il s’agit toutefois d’une déception. Les bureaux virtuels Windows étaient attendus au tournant par nombre d’utilisateurs issus de Linux (ou habitués d’autres solutions). Résultat : aucune configuration ou presque, une gestion simple voire simpliste, un fond d’écran pour tous les bureaux, pas de raccourcis clavier…
Dexpot s’avère être tout le contraire. S’il reste simple d’utilisation, disponible gratuitement et en français, il est configurable à outrance. Il permet d’avoir jusqu’à 20 bureaux différents, de multiplier les accès (barre des tâches, raccourcis, raccourcis claviers), de jouer sur les apparences… Il permet tout, même l’affichage d’un joli cube 3D lors du changement de bureau. Une merveille à essayer absolument.
Aussi étonnant que cela puisse paraitre, alors que XBMC existait déjà, certains utilisateurs s’acharnaient toutefois à utiliser le Windows Media Center. Plus simple à configurer, il n’en demeure pas moins que les possibilités offertes par le logiciel signé Microsoft étaient également bien moindres.
Pour le remplacer, rien de mieux que le très bon Kodi. En effet, si XBMC a changé de nom, il a également mûri : plus simple, plus stable, toujours plus configurable, le logiciel fait des prouesses dans tous les domaines grâce, notamment, à une excellente gestion des bibliothèques : musique, films, séries et photo, tout y passe.
Non, il ne s’agit pas d’un modèle de pile mais d’un format de son, ou plutôt d’un algorithme. AAC, c’est l’acronyme d’Advanced Audio Coding, ou « Encodage Audio Avancé » en français. Concrètement, il s’agit d’un format développé à la fin des années 90 par un institut allemand, en collaboration avec Sony, AT&T et Dolby, afin d’améliorer la qualité de compression du MP3. En théorie donc, le AAC c’est mieux que le MP3. C’est le format notamment utilisé par Apple.
Ça, c’est l’écran du futur. Et du présent, puisqu’il équipe déjà vos smartphones. Amoled signifie matrice active à diodes électroluminescentes. La matrice active, cela veut dire que chaque pixel est commandé indépendamment des autres. D’où une image plus fluide. Et l’Oled, c’est la technologie qui va remplacer le LCD. Concrètement, il s’agit de diodes qui produisent leur propre lumière, à la différence du LCD qu’il faut éclairer par l’arrière. L’Oled assure ainsi la production d’écrans ultraminces dotés d’une image parfaite, qui ne « bave » pas.
Vous avez acheté un lecteur Blu-ray il y a cinq ans et vous voulez visionner un film en 3D sur votre téléviseur. Perdu ! Il vous faut un lecteur de Blu-ray 3D. Concrètement, le Blu-ray est le format de disque capable d’afficher des images en haute définition. Mais les Blu-ray 3D contiennent plus de couches pour stocker plus d’information. Le laser doit donc être capable d’aller les chercher.
Créé par l’entreprise suédoise Ericsson en 1994, le Bluetooth est un système de communication par ondes apte à faire communiquer deux accessoires entre eux. Le nom, proposé par un ingénieur d’Intel, fait référence au roi danois Harald à la dent bleue (bluetooth) qui a unifié les tribus de son pays dans le christianisme au Xe siècle.
Un autre moyen de faire communiquer les appareils entre eux. Mais sans ondes, comme pour le Wifi. Le CPL est l’acronyme de courant porteur en ligne. Le réseau informatique est supporté par le courut » électrique. Il suffit de s’équiper d’adaptateurs à placer sur les prises de courant. Le signal passe alors par les fils électriques. Le CPL a décollé auprès du grand public par la volonté des fournisseurs d’accès.
Alors là, ça se complique un peu Le DLNA, pour Digital Living Network Alliance, est un standard qui sert à faire communiquer les nombreux appareils connectés de la maison. Très à la mode à la fin des années 2000 où l’on parlait beaucoup de convergence, le DLNA établit la communication des appareils entre eux grâce à un serveur central (un petit boîtier connecté), pour transformer son chez-soi en un réseau Internet local. Pour quoi faire ? Prendre une photo avec son smartphone et la visionner directement sur son téléviseur, par exemple. Ou encore envoyer la musique de son PC sur sa chaîne hi-fi. En pratique, le grand public n’a pas vraiment adhéré, préférant les communications directes comme le Bluetooth ou le stockage sur le cloud.
Le Led, on le sait, ce sont des petites loupiotes qui permettent à la télévision LCD de briller. Car les cristaux liquides seuls n’émettent pas de lumière. Après, il y a plusieurs façons de l’éclairer : par les côtés (c’est moins cher, mais moins bien), ce qu’on appelle l’Edge Led, ou sur toute la surface, le Full Led, donc.
Pour faire court, c’est la haute définition (HD) mais pour le son. Cette technologie d’encodage du son a été mise au point par Sony. Elle concerne tant l’encodage que la lecture de la musique. Concrètement, elle offre une qualité de son qui dépasse celle du CD, grâce à une « pixellisation sonore » plus fine, si on peut dire.
C’est la connectique Péritel de la haute définition. Le HDMI, pour High Définition MultiMedia Interface, est capable de transmettre plus d’informations sur le flux vidéo qu’une Péritel et ce, sans perte. D’où une image HD. Depuis son apparition en 2002, elle n’a cessé d’évoluer. Avec la version 1.4, on peut par exemple afficher une image en 4K (le Super Full HD). Quant à la mouture 2.0, elle affiche des vidéos 4K en 60 images par seconde.
C’est le nouvel argument marketing des fabricants d’écrans. Il faut passer à l’HDR ! Acronyme de High Dynamic Range (traduit par imagerie à grande gamme dynamique), la technologie est bien connue des amateurs de photo à qui elle garantit une image parfaitement contrastée lorsque des zones sombres jouxtent des zones très lumineuses. Dans ce cas-là, un écran classique choisit de privilégier les unes aux dépens des autres. Avec le HDR, la vidéo s’inspire de la photo en assurant un contraste optimal sur les deux. Problème : quasiment aucun écran du commerce n’est pour l’heure compatible. Il faudra attendre un peu pour tout racheter !
L’une des millions de technologies logées dans les écrans LCD. Car les modèles à cristaux liquides, à la différence de l’Oled, sont pleins de défauts (contraste limité, rendu des couleurs moyen, angle de vision réduit…). L’IPS (In Plane Switching) corrige une de ces faiblesses : l’angle de vision. Sur une dalle IPS, on bénéficie d’un excellent rendu où que l’on se trouve dans la pièce. Les professionnels adorent. Le grand public moins, à cause de son taux de contraste médiocre (1000:1).
Tout le monde connaît le LTE (Long Term Evolution) mais sous le nom de 4G. Il s’agit de la norme choisie par le consortium mondial du mobile, le 3GPP, pour avoir le même type de fréquence de réseau mobile nouvelle génération (ça facilite la commercialisation des smartphones sur les cinq continents). Le LTE offre un débit maximal de 300 Mbit/s (le poids de cinq albums de musique), le futur LTE-Advance (la « vraie » 4G) montera, lui, à 1 Gbit/s.
C’est le super débit du réseau mobile du futur. Et c’est prévu pour 2020. Avec la 5G, c’est une orgie de téléchargement sur smartphones qui se dessine. La 5G livrera en théorie des débits de plusieurs gigaoctets de données par seconde, soit 100 fois plus que la 4G actuelle. Encore faudra-t-il qu’il y ait du réseau!
Le NFC (Near Field Communication, alias communication en champ proche) est une techno de communication rapide et à courte distance (10 cm). De quoi payer sans contact avec son mobile. C’est une variante de la RFID, qui ouvre des communications à plus longue distance et qui est, de fait, moins sûre.
C’est le format qui s’est imposé dans le stockage de données (principalement des photos) face au Memory Stick du japonais Sony. La carte SD, pour Secure Digital, créée en 2000 par Panasonic, SanDisk et Toshiba, utilise de la mémoire flash (ce qui la distingue d’un disque dur) et a depuis été déclinée en plusieurs formats (miniSD, microSD).
La fameuse carte SIM, pour Subscriber Identity Module, c’est un peu l’âme du téléphone portable. Sans elle, point de communication (du moins par réseau mobile). La carte SIM contient les informations de l’abonné et de l’opérateur, ainsi qu’un peu de mémoire. Les toutes premières avaient un format de carte de crédit (peu pratique dans un mobile) mais depuis, elles ne cessent de rétrécir pour se glisser dans des téléphones de plus en plus fins. La petite dernière, la nano-Sim, a été introduite par Apple dans son iPhone 5.
C’est la technologie de stockage qui remplace le disque dur. Le SSD (Solid State Drive) engrange les données sur des puces de mémoire flash. Il n’y a pas de mécanique, donc c’est plus fiable. Mais plus cher. À capacité égale, le SSD coûte dix fois plus.
C’est la connectique favorite des fans d’Apple. Et pour cause, on n’en trouve principalement que sur les Mac. Il s’agit d’un format de connectique qui relie l’ordinateur à toutes sortes de périphériques. La différence avec les autres connectiques de type USB, c’est que le Thunderbolt utilise la technologie de fibre optique à la place des fils de cuivre. C’est plus sûr et ça assure de meilleurs débits. Mais dans les faits, ils sont peu nombreux à s’en servir.
UHD (4K et 8K)
Oubliez le Full HD, on est entré dans l’ère de l’UHD, soit l’ultra haute définition. Sur un écran Full HD, l’image est découpée en 2 millions de pixels. Avec l’UHD, dit 4K, elle s’affiche en 2160 x 3 840 pixels, soit quatre fois plus. Et avec le futur 8K, ce sera 16 fois plus, et une définition monstrueuse de 4320 x 7 680 pixels. Le but est de conserver une très haute définition sur des écrans de plus en plus grands.
La dernière-née des connectiques. Dévoilé par Apple avec son MacBook 12 pouces, l’USB Type-C se veut universel. Tout passe par lui : le courant pour recharger l’appareil, les données pour télécharger, etc. Autre avantage sur l’USB : plus besoin de tourner la prise dans tous les sens pour la brancher, elle est réversible.
MARTIN SOMA
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Ce fichier vous est fournis ici par « L’Internaute.com » afin de ne pas l’oublier
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Mode d’emploi : comment intégrer ou incorporer une vidéo youtube dans un blogue. Récupération du code, ajustement de la dimension de la vidéo pour adaptation à la taille du blogue.
Sans titre
Votre ordinateur sous Windows contient de nombreux secrets… Et parmi eux, des clés de licences et des mots de passes éparpillés par de nombreux programmes sur votre disque dur. À l’époque où j’ai développé RockXP, je me contentais d’aller chercher les clés de licences des outils de Microsoft (Windows, Office…etc.), mais je viens de tomber sur un soft qui va beaucoup plus loin.
Ça s’appelle RecALL et ça permet de choper les licences et mots de passe enregistrés par un peu moins de 3 000 logiciels différents. Système d’exploitation, suite bureautique, client mail, navigateur, antivirus, client FTP…etc. Tout ou presque y passe.
Le mode émulation serveur est aussi pratique puisqu’il mets en place un espèce de proxycapable de choper les mots de passe POP3/SMTP de vos logiciels de messagerie même si ceux-ci ne sont pas supportés nativement par RecALL. Dans le même style il y a aussiMailPassView de l’ami NirSoft pour les mots de passe de messagerie.
Ce logiciel trouve son utilité au moment où vous vous dites : « Tiens, je vais formater, mais je n’ai plus ce fichu papier où j’avais noté le numéro de licence ce soft, comment le récupérer dans le système ?« .
Mais je suis sûr que vous lui trouverez bien d’autres utilisations.
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